Chaque page est un tableau d’érotisme dont Blanche est à la fois sculptée, peinte, dessinée sur fond de romantisme du XIX ème siècle qui s’autorise l’indécence autant que l’impudeur dans sa toute puissance.

Blanche est fascinante par sa nudité fantasque; Sa parade de soie ne dévoile que l’opacité d’une vie passée dans quelques alcôves secrètes.

L’aimer ou la détester n’a que peu d’importance.

D’autres protagonistes structurent ses pulsions mais seul le lézard du roman sera spectateur.

JPE nous livre des images si habiles qu’elles deviennent nôtres en cet été italien ou traversant les saisons parisiennes vernies de luxure.

« Ce qui plaisait à Blanche » ?…je laisse aux lecteurs le plaisir de le découvrir en 320 pages de lecture à en frémir avec un soupçon d’émoi que les initiés des boudoirs reconnaîtront laissant les autres les envier, ou pas…

Merci à Jean Paul Enthoven de m’avoir permis de présenter son roman pour la rentrée littéraire.

Un clin d’oeil à Stendhal qui m’a conduit à faire sa connaissance !

« SFCDT »

Florence Evan