Infiltrer la police, un vrai défit dans ce secteur réputé sensible. Valentin Gendrot de son pseudonyme nous ouvre les portes d’un des commissariats les plus concernés par la violence et ses dérives. On retient le style reportage dont l’auteur est adepte, il soulève la couverture du racisme, de l’homophobie, du taux de suicide …

Les férus d’infos n’apprendront pas grand-chose mais on souligne son courage d’avoir gardé l’arme à la ceinture.

Une écriture journalistique qui change du roman témoignage.

Valentin Gendrot est tout de même l’as de l’infiltration alors, à suivre …

Bonne lecture !